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les mots unissent les hommes, la poésie unit les âmes blog inscription bienvenue publié 1 juin 2005 dans non classé 6 commentaires ecrire ! et qui plus est de la poésie ! curieux dessein où la lettre masque l’être, où la page fige le temps. irascible désir, douce folie, narcissisme exacerbé, don de soi, quête de l’autre ou perte de temps ? pourquoi écrire ? sinon parce que file le temps, défilent les mots. d’ici publié 30 décembre 2012 dans non classé 0 commentaires d’ici, je vois ce petit monde s’épandre en mon être ébahi de cette douceur quasi-biblique naît le temps aboli d’ici, je sens cette présence s’étendre en l’éther rejailli de cette grandeur empirique conquit l’ère amoindrie de là, j’entends ce doux murmure s’éprendre de mon âme aguerrie de cette candeur tout onirique conquit l’âme fleurie de là, je vois tes jambes retorses se fendre en cet endroit joui de cette chaleur extatique naît l’instant attendri. la plume publié 9 octobre 2012 dans non classé 0 commentaires voici cette plume pour déverser pensées un sobre encrier pour faner brumes quel fou talent sur papier coucher tant de frêles idées aux accents touchants main élégante aux gestes gracieux moments fameux qui toujours enchante souffle pendu à lèvres pensantes envie débordante en l’être ému. nature publié 9 octobre 2012 dans non classé 0 commentaires c’est une toile, vaste colline, où hêtres et chênes, mousse et feuillus, tapissent terre, toute ocre et fine, d’ombres charriées, nées sous la nue. cette lumière d’un bleu intense, crée sentiments, formes et couleurs, de ce tableau, nature immense, nous ne cessons d’emplir nos coeurs. quand le silence se fait attendre, seul le chant doux de mille feuilles, parcourt les airs, se fait entendre, de l’être aimé, je me recueille. en contrebas gît une vallée, où l’on peut voir une rivière, de ses reflets ensoleillés, y faire jaillir les plus beaux vers. de tout à rien publié 16 août 2012 dans non classé 0 commentaires rien ne cesse de cette maladresse, rien ne passe ni même se tasse, rien ne s’avoue qui ne m’échoue, rien ne m’envie trop d’alibis, mais tout m’affole je batifole, tout m’éteint c’est certain, tout se rejoue sans atout, tout est fini et je plie. de tout à rien publié 16 août 2012 dans non classé 0 commentaires rien ne cesse de cette maladresse, rien ne passe ni même se tasse, rien ne s’avoue qui ne m’échoue, rien ne m’envie trop d’alibis, mais tout m’affole je batifole, tout m’éteint c’est certain, tout se rejoue sans atout, tout est fini et je plie. sexe. publié 16 août 2012 dans non classé 0 commentaires d’une vivace escapade, ton sexe nu j’arbore, aux spasmes frénétiques, s’offre ton plus beau corps, répond ma douce verge à l’élan explicite, a cette bandaison simplement illicite, de ces mouvements grandement décadents, sur cet’belle intrusion, sans aucun ménagement, je t’enfonce mes pensées les plus sarcastiques, tu te coules finalement jusqu’au bout de ma trique, de cet’douce chaleur liquéfiée en ton antre, de toi, femme aimante, je ferai mon chantre, adonnée à l’oubli des plus bas préjugés, tu gémis, tu blémis, je te laisse exhulter. dilemme publié 16 août 2012 dans non classé 0 commentaires toujours je suis dans le dilemme, rien ne m’en sort ni m’en préserve, quelle torpeur des plus extrêmes d’être la proie de ses réserves, j’essaye alors de m’accrocher aux oraisons de ma raison, de me vider de tant d’idées et d’une seule, faire cocon, pourtant un flot de directions cogne ma tête, vaste brouillard, elle s’embrume de passions ne me laissant que bien très tard, pas de répit me soit offert sans de beaucoup m’avoir puisé, je me sens las, à cœur ouvert, et de mon être, tout épuisé. le malamour publié 16 août 2012 dans non classé 0 commentaires j’ai si bien mal aimé, tu l’as si bien porté, j’ai tellement oublié, tu te l’es tant rappelé, j’ai voulu être le paisible amant, tu restais la paisible aimant, j’ai souhaité magnifier le temps, tu vivais encore des blessures d’avant, j’ai désiré te rendre heureuse, tu l’attendais malheureuse, j’ai tenté d’asphyxier tes douleurs, tu souffrais d’erreurs, j’ai tant marché pour moi, tu demandais de quel droit, j’ai brisé du simple et du beau, tu saignais des éclats dans ta peau, j’ai lesté ta personne de maux, tu en pleurais tout haut, j’ai pensé fort et droit, tu cherchais l’émoi, j’ai parfois fait de mon mieux, tu y croyais si peu, je fus si fatigué, si vieux, tu regardais les cieux, puis vint le jour, où l’on s’est dit adieu. houleux temps publié 16 août 2012 dans non classé 0 commentaires au moment où l’hèbre conjure mon être pleuré, ta voix resplendit soudain du chaos naissant, de cesse, sans fin, je n’ai de te réclamer, et ton coeur s’enivrant dans mes tristes tourments, seul face à ma haine, à mes regrets étouffés, ta présence tempérée me rend à l’être absent, la tête éperdue dans une ivresse absorbée, ton âme s’accoutre de beaux verbes apaisants, fatigué d’une vie trop souvent dévoyée, ton regard nimbe ma vie d’espoirs chavirants, mon corps orphique plie sous une nue étranglée, ta peau d’armeline le tenant flamboyant, hier si dispersé, aujourd’hui effilé, tandis que ton sourire me regarde larmoyant, l’espoir soudain me souffle l’amour retrouvé, ta main aidant, je retrouve enfin mon chemin. que puis-je maintenant à cet état dévasté ? sinon, te remercier des kyrielles de baisers ? ….. publié 16 août 2012 dans non classé 0 commentaires de provocations il se gargarise, se délecte, se ressource, il est évanescence et pourtant si forte présence, de répit, de repos, de doutes, il n’a qu’égards amers et fumeux, il enferme l’un pour s’accaparer l’autre, il fait substance de l’épisodique, le côtoyer en tout instant nous rend odieux et oppressant, nous sacralise . bouclier intérieur ou sabre prétentieux, il nous anime d’une fièvre rageuse, déséquilibre . il tend à écraser, a nommer l’autre comme inconnu, a ne le voir qu’au travers de ses travers. il nous accule, nous pousse au dernier soupir, au dernier cri, il est le malamour, il fait de deux un plus un, il encourage et nourrit ses propres idées sans jamais les projeter au dehors, l’âme devient tombeau de lumière, prisme fêlé. il s’alimente de maux, ne cesse de nous grignoter, on s’en fait religion, il nous devient foi, parfois il m’incline et je m’en indigne … l’orgueil. 1 2 3 4 5 ... 9 bnf bibliothèque nationale de france pages dédicaces galerie photos palabres recueils d’une vie à l’autre instants d’éternité textes et poésies sites blogs amis commander un livre roman portraits humoristiques des... | la danse des mots | mémoires créoles | unblog.fr | créer un blog | annuaire | signaler un abus | les monologues du pouf rouge | ô maux sexuels... | les larmes d'elwandir